L’Accord
dit de Khartoum, une dernière tentative de plus.
L’accord
dit de Khartoum porterait-il la Paix au peuple
Centrafricain ?
Sera-t-il capable d’incarner un autre
projet politique objectif pour l’avenir et le destiner de la Nation
Centrafricaine ? Et encore, Ressoudera-t-il les gros problèmes
incompressibles de mercenaires, rebelles dans notre Pays ?
À
savoir l’épine dorsale, de tous les prétextes anarchiques, de la mauvaise
gouvernance, de fait des pillages
organisés de nos richesses minières, de la braderie à grande échelle sur le dos
de mes compatriotes. Les faits sont têtus en Centrafrique ! Les
vieillimences rancunières, anthologiques, c’est-à-dire ces rancœurs qui restes
dans la mémoire de par son caractère exceptionnel depuis des décennies qui se
traduit par des rivalités politiques écartant tout objectivité dans la
gouvernance de la chose public, de plus aggravante par l’avènement ou les
phénomènes des redoutables couple « SELEKA & ANTI-BALAKA »,
pousseront
encore et encore les irréductibles ennemies de la Paix à insister dans les
pratiques le plus
macabres
sur le peuple paisible de la Centrafrique.
Par
ailleurs l’autosatisfaction, ou des postures des victoires dans des situations
pareilles n’est pas sage de part et d’autre. Ensemble, nous devons être prêts,
prêts à incarner cette dernière pierre de la Paix, déjà dans nos cœurs et un
effort de compassion pour toutes les victimes de la Centrafrique. Quelle
alternance par rapport à la mauvaise pratique du passé sur le plan de la
politique jusqu’à ce jour. En éliminant ces deux options de la politique :
le Despotisme exécutoire, excluant
tous choix rationnels des acteurs politiques dans les pratiques de la gouvernance. Aussi par
les insurgés qui sont..., la Rébellion comme moyen d’accès au pouvoir sans avoir
les compétences nécessaires de la Gouvernance.
La
situation que travers notre Pays réclame de la Compétence incontestable de tous
et toutes les fils, filles de Centrafrique, de l’Intégrité, de la Lucidité afin de relever notre cher
Pays et non des Aventuriers Politiques
ou des Avatars du passé, pour ne pas dire des bras cassés, plus pire encore
les revendications infinis avec les armées à la main. Une alternance objective c’est ce dont
notre Pays, la Centrafrique a besoin avec des dirigeants prêts à rassembler les
Compétences, des Progressistes, dans le Pays, au niveau
des Diasporas… Les générations
éclairées à ne pas exclure, les uns et les autres pour une Centrafrique
renouveau, capable de sortir dans ces cendres pour se mettre aux pas de la
mondialisation.
Mes chers & chères compatriotes, vous
l'avez compris, je souhaite, comme beaucoup de nos compatriotes diasporas, un
bon projet assortissant à la suite des pourparlers de Khartoum, pour une
Centrafrique renaissante et forte socialement à l’unissant, Notre Centrafrique
ne sera plus jamais, la Centrafrique des divisions, de l’exclusion ni des
déclinistes, nostalgiques d'une Centrafrique coupé en deux. Les indécisions,
ainsi que l’aveuglement, l’arrogance des uns et des autres, de même les
arrogances technocratiques notoires des
gouvernants". "Ce n'est pas avec des telles postures, soit un accord
signé par tout le monde que l'on remettra les pendules à l'heure" et "ce n'est
pas une réitération communicationnelle qui suffira pour redonner la légitimité
retour à la Paix tant entendu pour les Centrafricains. Je le dis solennellement
a tout le monde signataire de l’accord de Khartoum, ainsi à mes compatriotes,
prenons garde, et le pardon est nécessaire et sacré, ça va de soit à la Paix
pour tous, toutes filles de la Centrafrique, notre unité a été fragilisé dû à
des nombreuses discriminations entre nous-mêmes les fils et filles de
Centrafrique. Pour toutes les raisons évoquées précédemment, qu’on ne vienne pas
d’avantage affaiblir nos institutions qui devrait être le seul rempart qui
demeure dans notre République de plus en plus menacée.
Dans
la crise que traverse notre chère patrie ", "il est temps de cesser toute
violence envers la population, et de dénoncer toutes complaisances pour une Paix
véritable de pardon, de réconciliation entre les fils et filles de la
Centrafrique dans le respect des institutions et la
justice.
Nous
devrons tous réadapter nos exigences aux enjeux du présent pour reconstruire
l’avenir. C’est-à-dire la Paix. Sans la Paix nous ne développerons pas notre
Pays. Donc il nous faut une nouvelle grille politique pour l’intérêt
générale.
Fait,
à Lyon 22/02/2019
Diaspora,